vendredi 30 décembre 2011

On prend toujours un escalier

Six ans, ou presque, séparent ces deux cases – six ans en temps réel, s’entend. Dans le récit, je ne saurais dire exactement, peut-être deux ans.

Dans la première case, on voit Karl sur le bateau qui l’a conduit en Amérique, descendant l’escalier menant à la cale et, éventuellement, vers son destin. Dans la deuxième, cent-quarante-deux pages plus tard, il descend un autre escalier le menant vers son destin, l’escalier du métro de New York.


On constatera que son aspect physique a passablement changé dans l’intervalle. C’est parce qu’il a vieilli, bien sûr. Mais pas autant que moi.

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